Le fait est que cela doit arranger beaucoup de monde que personne ne sache de quoi est constitué le gaz. La question, c’est : pourquoi ? J’attends votre réponse, madame la ministre.
Je pense que, si l’on ne sait pas ce que contient le gaz, cela a un impact notamment sur les ETS (E mission s Trading S ystem), sur le calcul de l’intensité carbone. On ne paie pas le même prix quand on utilise du gaz de schiste, du gaz norvégien ou du gaz russe ! Il est donc intéressant pour beaucoup de monde qu’il n’y ait strictement aucune transparence sur le type de gaz qui arrive par bateau. L’exploitant et l’État, comme tous les États, voudraient bien que cela continue ainsi !