Madame la ministre, vous nous répétez que l’on ne sait pas d’où vient le gaz transporté dans les navires méthaniers. Savez-vous que, quand l’usine Lubrizol a brûlé, nous ne savions pas ce qu’il y avait dans les fûts ?
Quelque 9 000 fûts, je crois, ont brûlé, et nous ne savions pas ce que les habitants ont respiré ! §Reconnaissez qu’il y avait là un vrai problème !
Or votre gouvernement, après la catastrophe, a pris des mesures pour imposer aux industriels d’être en mesure de dire, à tout moment, ce qu’il y a dans leurs stocks. Alors, s’il vous plaît, allons dans ce sens !