Nous devons garder en tête l’enjeu de développement et nous le faisons avec la taxe Chirac. Certes, il faudrait y ajouter les jets privés – nous en parlerons lors de l’examen du projet de loi de finances rectificative –, mais une partie des recettes de cette taxe est bien attribuée à l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afitf) et une autre à l’Agence française de développement (AFD).
Nous maintenons notre amendement, même si j’entends la logique suivie par M. le rapporteur pour avis et Mme la ministre.