… pour la bonne et simple raison que leur empreinte carbone est déjà conforme à la cible fixée à l’horizon 2050 – je ne parle pas de ceux qui vivent dans des passoires thermiques ; ceux-là, nous devons les en sortir.
Cela dit, la question n’est pas là. Voici ce qui doit nous occuper : il faut donner les moyens à tous ceux qui ne sont pas en situation de précarité énergétique, soit 88 % de la population – ce n’est pas rien… –, beaucoup de TPE et d’autres acteurs de tailles diverses, y compris les collectivités territoriales, non seulement de piloter leur consommation, mais de s’y retrouver.
Dans les années 1970, personne ne considérait que les tarifs « heures pleines, heures creuses » étaient une insulte aux plus précaires.