Lorsque nous lui avons demandé d’appliquer les textes réglementaires en vigueur, il nous a dit : avant de voir la raffinerie, je demande une étude à l’inspection générale des finances. Nous sommes presque en août et nous attendons toujours le rapport ! Il a refusé de bloquer les prix, ne serait-ce que pour trois mois, et de négocier avec la Société anonyme de la raffinerie des Antilles (SARA) : le chèque carburant et la remise de 18 centimes d’euro étaient censés suffire.
Chacun, sur son smartphone, peut aujourd’hui consulter les arrêtés préfectoraux publiés chaque début de mois. Je le dis sans détour : vous verrez que certains éléments relèvent de la concussion. Les préfets collectent des indemnités de précarité des gérants (IPG), qui n’ont pas été autorisées par le Parlement. Il faut faire la lumière sur ces pratiques. Je veux bien que le rapport soit accessible en ligne, mais nous aimerions le voir !