Je précise ce qui a été fait depuis cinq ans : une reprise de dette de la SNCF à hauteur de 35 milliards d’euros ; une recapitalisation, pendant la crise sanitaire, de 4 milliards d’euros pour préserver les capacités de développement ; une enveloppe de 650 millions d’euros de crédits en faveur de la rénovation du réseau de fret ferroviaire ; et encore, je n’ai pas tout cité !
Tout cela pour dire que nous continuerons dans ce mouvement et que nous amplifierons même notre investissement pour le train.