J’en ai cité deux : le rachat des titres d’Orano à Areva et le LFB.
Je confirme que d’autres opérations d’importance sont prévues, sur lesquelles je ne peux pas communiquer. Pour une grande partie d’entre elles, je ne dispose d’ailleurs pas de tous les éléments : il s’agit d’informations de marché, par définition confidentielles – nous parlons d’entreprises cotées.
Ces deux dernières années, l’État a dû soutenir un certain nombre de fleurons nationaux mis en danger par la crise sanitaire ou par l’inflation : on était bien content qu’il déploie les moyens permettant de les accompagner. Ce sont à peu près les mêmes opérations, à d’autres échelles, qui peuvent être prévues à ce titre.
Mesdames, messieurs les sénateurs, je le redis, si nous demandons ces 3 milliards d’euros, ce n’est pas pour rien. À présent, jugez en conscience.