L’activité des entreprises de l’événementiel professionnel français est particulièrement impactée depuis la crise du covid-19 et les nombreuses périodes de confinement.
Ces établissements ne s’en sont pas encore remis et, en parallèle, les sites événementiels sont appelés à mettre en œuvre des rénovations thermiques et une transition digitale qui exigent des investissements sur fonds propres, provoquant un effet de ciseaux.
Cet amendement vise donc à accorder aux entreprises du secteur événementiel des instruments de quasi-fonds propres à un taux proche de l’obligation assimilable du Trésor (OAT) avec une liberté d’usage, afin d’accompagner leurs investissements pour la préparation des prochains événements qui se tiendront entre 2023 et 2025.
Cette filière a vraiment besoin d’être entendue et soutenue.