Cet amendement est dans la même lignée que celui que je viens de présenter. Il permet d’augmenter librement le taux de taxation sur les résidences secondaires de 5 % à 60 %.
Il s’agit donc de laisser toute latitude aux exécutifs communaux, confrontés à une inflation immobilière supérieure au taux moyen d’augmentation des prix depuis dix ans – 22 % – et à un taux de résidences secondaires supérieur à la moyenne française – 13, 5 % – d’augmenter le taux de taxation sur les résidences secondaires.