Notre chef de file donnera la position de mon groupe ; c’est donc en mon nom qu’en cet instant je m’exprime. Sans surprise, je voterai contre ce texte.
Si j’ai souhaité intervenir, mes chers collègues, c’est pour attirer votre attention sur un amendement assez incroyable, adopté aux environs d’une heure du matin : l’amendement n° 191, à l’article 6. C’est à mon sens la disposition la plus inique, la plus inadmissible, la plus indécente votée ce soir, puisqu’elle consiste à supprimer la prime de rentrée allouée aux bénéficiaires de minima sociaux.
Je ne comprends pas comment on peut présenter ce genre d’amendement : vous pensez pénaliser les parents, mais ce sont les enfants que vous pénalisez !