Monsieur le directeur général, vous présidez l'International Development Finance Club, qui regroupe 24 agences de développement à travers le monde et constitue le plus gros fournisseur de finances publiques pour le climat. La COP21 a donné lieu, en 2015, à l'accord de Paris, qui nous engage à sortir au plus vite des énergies fossiles pour atteindre la neutralité climatique en 2050. La seule solution crédible, c'est de substituer aux sources d'énergie fossiles de l'électricité décarbonée. La crise actuelle montre à quel point il y a urgence. Au cours des dernières années, le soutien des banques publiques de développement, sous votre présidence, a-t-il généré des avancées significatives ?