Madame la sénatrice, monsieur le sénateur, permettez-moi de vous rassurer : nous avons évidemment à cœur les intérêts de la filière lavandine et de la Provence, ainsi que ceux de toutes les personnes qui vivent de la production des huiles essentielles.
Il y a derrière la révision du règlement Reach un souci de santé publique, comme l’a souligné Marie-Pierre Monier. Il importe donc que nous puissions trouver un équilibre entre l’impact socio-économique et la santé publique.
Voilà pourquoi des consultations ont été lancées. Bien évidemment, ma porte, comme celle du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ainsi que du ministre de la santé et de la prévention, reste ouverte pour discuter de tous ces sujets.