Le ministère des armées dépend beaucoup de Microsoft, alors que la gendarmerie et d'autres ministères européens de la défense utilisent des logiciels libres. La dépendance vis-à-vis de Microsoft ne constitue-t-elle pas une forme de fragilité ?
Vous avez évoqué des coopérations avec l'Union européenne, mais vous n'avez pas mentionné l'Otan. Or cette organisation réfléchit à l'idée d'intégrer les cyberattaques dans le champ de l'article 5 du traité.