Vous n’avez pas répondu sur votre vision de l’école. Or les Français attendent encore de la connaître. Vous n’aviez sans doute pas le temps de la développer en quelques minutes, mais cela fait déjà quelques mois que vous avez été choisi par le Président de la République.
Vos mots ne répondent ni à l’effondrement des connaissances et à la crise de la transmission ni aux immenses défis posés à l’école. Monsieur le ministre, apportez à votre ministère, apportez aux Français la sérénité dont nous avons tous besoin !