Monsieur Benarroche, je ne comprends pas votre argument selon lequel assurer le risque reviendrait à « solvabiliser » et donc à encourager la délinquance.
Dois-je en déduire que vous proposez d’arrêter d’assurer les cambriolages ? En effet, plus on les assure, plus on « solvabilise » et plus on « fait » le marché. Doit-on également, en poussant le raisonnement jusqu’au bout, arrêter d’assurer les vols de voiture ?