Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, monsieur le président de la commission, en tant que président du groupe d’amitié France-Italie au Sénat, je fais miens les propos tenus par le président Cambon.
Les dirigeants sont élus démocratiquement. Nous n’avons pas à nous immiscer dans les choix des autres pays.