Monsieur le ministre, je vous remercie, mais vous n’avez pas tout à fait répondu à ma question.
Les éléments que vous m’apportez portent sur une offre dégradée. Or qui dit offre dégradée dit impossibilité de faire l’aller-retour dans la journée ; cela nuira notamment aux chefs d’entreprise.
Vous m’indiquez ensuite que, dans quelques semaines ou quelques mois, la Renfe pourra exploiter ou reprendre certaines lignes, mais que rien n’est acquis à ce jour.
Enfin, puisque vous évoquez le covid-19, je vous signale que, partout en France, sur tout le territoire national – entre Bordeaux et Paris, ou entre Brest et Paris –, rien n’est satisfaisant.
Nous ne sommes pas revenus à la situation antérieure à la pandémie. Les trains roulent, mais ils sont pleins. Les prix flambent.