Et elle est en effet honnête.
Vous avez proposé une réduction des dépenses de 37 milliards d’euros. Disons que c’est ambitieux, très ambitieux… Mais je suis certain que notre travail en commun devrait permettre de faire émerger des propositions réalistes et concrètes et de trouver, du moins je l’espère, un compromis sur cette loi de programmation des finances publiques, dont je persiste à penser qu’elle est rassurante pour nos compatriotes, rassurante pour nos partenaires européens et responsable du strict point de vue de la bonne tenue de nos finances publiques.