Les oppositions avaient voté une disposition consistant à prendre tout l’argent du bouclier tarifaire pour l’affecter à la rénovation énergétique des bâtiments en 2023. Or on sait très bien qu’il sera impossible de multiplier par sept en un an les rénovations énergétiques, ne serait-ce que pour des raisons de capacités opérationnelles de nos artisans et de la filière BTP. Surtout, cela signifierait 600 euros d’augmentation de la facture d’électricité pour les Français l’an prochain.