Le développement des parcs éoliens est encadré par une réglementation stricte et précise.
Pour les éoliennes de plus de 50 mètres de hauteur – celles qui sont construites aujourd’hui –, il faut une autorisation. De plus, leurs effets sur la biodiversité et sur les paysages font l’objet d’une étude d’impact et une enquête publique est réalisée. L’État peut imposer des prescriptions complémentaires et compensatoires : éloignement, dispositif d’effarouchement…
Faisons confiance aux élus pour choisir les zones appropriées d’accueil des éoliennes plutôt que de vouloir faire à leur place. Les élus sont bien conscients des enjeux patrimoniaux et de biodiversité dont il faut tenir compte dans les zones propices qu’ils définiront.