La Normandie dispose de nombreux lieux de mémoire liés à la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, les associations, qui sont un peu les gardiens de la mémoire, ont toujours dialogué avec les porteurs de projets de manière constructive ; cela a permis d’aboutir sans que des règles automatiques soient érigées. Le bon sens a joué.
Ces associations sont sensibles au fait qu’un lieu de mémoire ne doit pas être figé dans son époque, mais qu’il doit servir de message aux nouvelles générations de manière que la mémoire soit transmise de différentes façons.
Je fais donc confiance au dialogue entre les gardiens de cette histoire et ceux qui sont conscients que notre pays est confronté à des défis d’une autre nature, que nous devons relever ensemble.