Je suis favorable à cette proposition, qui va dans le bon sens. Elle reprend d’ailleurs des travaux menés en commission avec Pascal Martin et Martine Filleul pour essayer de proposer des médiations intelligentes permettant, le cas échéant, de négocier des seuils de continuité écologique avec les parties prenantes. Sur le fond, c’est une voie médiane qui peut être intéressante.
Je rappellerai à M. Favreau que les syndicats de rivière sont présidés par des élus. Ce sont eux qui embauchent. Ils ont donc la responsabilité de l’employeur. Les techniciens de rivière sont ainsi sous l’autorité hiérarchique et fonctionnelle des élus siégeant dans les syndicats de rivière. Dans ceux-ci, toutes les parties prenantes sont associées ; les plans d’action sont validés de manière collective. Si on veut vraiment poser les sujets, il y a un lieu de débat pour pouvoir le faire.