Je soutiendrai bien évidemment cet amendement.
Permettez-moi tout d’abord de relayer les propos de la directrice générale de l’EFS : « Nous voulons mieux prendre en charge les patients, défendre notre modèle éthique et améliorer notre souveraineté sanitaire. » Pour cela, il nous faut des moyens en investissement importants et un fort soutien de l’État.
Les personnels sont mobilisés. Ils alertent sur le manque de postes, qui a – cela a été dit – de nombreuses conséquences sur la collecte et sur la nécessité d’y pourvoir. Après la crise sanitaire, on voit bien que le nombre de postes est encore trop faible.
L’EFS est ainsi confronté à une double pénurie : sur le plan médical et sur le plan des dons.
Au cours de son dernier congrès, la Fédération française pour le don de sang bénévole a alerté, elle aussi, sur cette situation et sur la nécessité de doter l’EFS en moyens humains et financiers pour faire face aux besoins, qui sont indispensables.
Je tenais à relayer ces soutiens et ces demandes.