Elle a l’occasion de se déployer au sein du Conseil d’orientation des infrastructures, auquel participent plusieurs membres du Sénat, comme plusieurs membres de l’Assemblée nationale, toutes sensibilités confondues.
Nous mènerons ces travaux d’ici à la fin de l’année et, sur cette base, nous pourrons définir des priorités claires et une programmation des moyens, pour le transport ferroviaire en particulier.
J’insiste sur un point essentiel : le réseau ferroviaire doit être absolument prioritaire dans nos choix budgétaires et c’est la responsabilité de l’État, du niveau national, d’investir encore davantage dans ce réseau. Ainsi, nous avons quasiment doublé les crédits qui y sont consacrés au cours des cinq dernières années.