Monsieur le sénateur Verzelen, vous avez raison et je n’ai pas l’habitude de fuir mes responsabilités. Nous parlons d’un grand service public – une entreprise entièrement publique –, l’État ne peut donc laisser la situation sans réponse ou témoigner d’un quelconque désintérêt, et c’est d’ailleurs pourquoi j’ai dit que la situation dans les Hauts-de-France était inacceptable.
Dès lundi, je me suis rendu à Lille pour m’entretenir avec le président de la région Xavier Bertrand, puisque les TER sont effectivement à la charge des régions, et hier je me suis de nouveau entretenu avec le président de la SNCF Jean-Pierre Farandou.