À titre d’exemple – et pour être très précis –, dans mon département, lorsque les stations de sports d’hiver des Hautes-Alpes se retrouvent à utiliser le dispositif « amortisseur électricité », elles doivent assumer à hauteur de 20 % de leur chiffre d’affaires les charges énergétiques. Cela signifie qu’elles sont en situation de risque vital : à l’issue de la saison, elles risquent d’être en faillite ! Je crois qu’il est nécessaire de trouver des solutions grâce au débat parlementaire, mais il faudra trouver des solutions opérationnelles dès le 1er décembre !