Oui, les mots ont un sens, monsieur le ministre !
Quand toutes les fédérations hospitalières vous disent qu’il manque un milliard d’euros, cela signifie qu’elles devront faire autant d’économies pour suivre l’évolution mécanique – on l’a dit – du vieillissement de la population, des pathologies chroniques, de l’innovation médicale, et ce dans un contexte de forte inflation, notamment énergétique, mais pas seulement, puisque le poste alimentaire est également touché.
Cela s’appelle l’austérité, quel que soit le niveau facial d’Ondam que vous présentez.