La COP27 s'inscrit dans un contexte tout à fait spécifique, après le bilan en demi-teinte de la COP26 et la publication du sixième rapport du Giec, dont la conclusion est sans appel.
Monsieur Crouzat, ce rapport sera-t-il au coeur des négociations, avec des pistes pragmatiques d'action ? Faut-il être pessimiste, à l'instar de François Hollande, pour qui la Chine, la Russie et les États-Unis ont aujourd'hui d'autres préoccupations ? « Il n'y a pas grand-chose à attendre de cette COP », a déclaré l'ancien Président de la République. Votre optimisme est-il réel ou diplomatique ?