Mon cher collègue, quand je vous demande de conclure, vous devez obtempérer. Si chacun se permet de dépasser son temps de parole, nous ne pourrons pas achever l’ordre du jour de ce matin.
Je vous demande donc, mes chers collègues, de vous respecter les uns les autres.
La parole est à Mme Corinne Imbert.