Au cours de la présidence française du Conseil, notre ministre de l'agriculture a plaidé pour les clauses miroirs, pour en finir avec l'importation de produits ne correspondant pas à nos normes. J'ai moi-même présenté un rapport d'information qui évoque notamment les graines de sésame importées présentant des résidus d'oxyde d'éthylène, une substance pourtant interdite depuis 1991. Ce sujet est-il pris en compte par la Commission, ou la prise de conscience n'a-t-elle été que passagère et liée à la présidence française ?