Si le dispositif ne marche pas, c’est parce que le crédit d’impôt est trop restreint, qu’il ne touche pas assez de personnes et qu’il est très limité dans le temps.
Porter le crédit d’impôt à 66 % permettrait de reconnaître l’intérêt général que constitue l’existence de la presse, en particulier la presse quotidienne régionale, au même titre que pour les associations. Ce n’est pas du tout du bricolage ; c’est au contraire une véritable ambition.
D’ailleurs, étendre et prolonger ce crédit d’impôt pourrait justement permettre qu’il soit opérant.