Je voudrais soutenir cet amendement et dire au ministre que, si les associations ont un surcroît de travail, c’est parce qu’elles réceptionnent des denrées parfois périmées !
Il s’agit donc de renvoyer à l’enseigne donatrice la responsabilité de ne pas donner de denrées périmées.
Les gens les plus pauvres ont également droit à cette qualité que la loi consacre. Les entreprises qui font des dons alimentaires doivent assumer cette responsabilité.