Mme Darcos indiquait précédemment que, s’agissant du cinéma comme du spectacle vivant, la crise du covid-19 avait conduit à une perte de fréquentation et que ces secteurs avaient encore du mal à retrouver leur public.
Nous avions prévu un assouplissement dérogatoire du crédit d’impôt pour dépenses de production de spectacles vivants musicaux et de variétés pendant la crise du covid-19. Un amendement adopté à l’Assemblée nationale le prolonge d’un an, dans la mesure où ce secteur n’a pas encore retrouvé la plénitude de son activité et de son public.
Ce soutien me semble important ; il est vrai que d’autres leviers sont actionnés conjointement, mais nous ne pouvons pas nous priver de ces mesures dérogatoires au bénéfice d’un secteur qui rencontre encore des difficultés.
L’avis du Gouvernement est donc défavorable sur cet amendement.