Le déploiement de ces réseaux arrive à son terme ; malheureusement, pour le dire vite, le raccordement passe le plus souvent par des poteaux électriques. La vulnérabilité des réseaux pose ainsi question, les tempêtes et les aléas climatiques étant, chacun peut l’observer, de plus en plus fréquents.
L’entretien des réseaux et l’élagage des bords de routes – nous avons évoqué ce sujet à l’occasion d’autres débats – seront des enjeux financiers majeurs pour nos territoires dans les prochaines années.
Je soutiens donc totalement la démarche de mon collègue Patrick Chaize.