Il convient, à mon sens, de laisser l’ensemble des dispositifs existants, ainsi que ceux qui ont été votés récemment, notamment dans le cadre du dernier projet de loi de finances rectificative, s’installer et se développer.
Leur succès s’appuiera sur l’aspiration des pratiquants, en ville, mais également dans d’autres zones, ainsi qu’en témoigne l’exemple de La Réunion. L’engouement pour ces modes de transport semble réel et la crise énergétique pourrait agir comme un amplificateur à cet égard.
Je propose donc que nous attendions avant d’aller plus loin et je demande le retrait de cet amendement.