La taxe sur les robots a connu une certaine notoriété depuis la campagne électorale de 2017 – hélas, sans succès à l’époque. Elle est ici de nouveau proposée.
L’idée est de tirer des conséquences du remplacement progressif, et bien souvent inéluctable, de la main-d’œuvre humaine par des machines, en instaurant une taxe sur les distributeurs automatiques de billets et autres caisses automatiques – péages autoroutiers, parkings, supermarchés, etc. –, qui sont à l’évidence des activités dont la taxation ne porterait pas atteinte à la compétitivité française.
Afin de ne pas pénaliser les petites communes – elles ne disposent souvent que d’un seul distributeur de billets et d’un seul supermarché –, il est proposé de ne cibler que les communes de plus de 20 000 habitants.