Par ces deux amendements et par l’amendement qui viendra juste après, Martine Berthet a le mérite de rouvrir le débat sur les huiles usagées qui s’était tenu à l’occasion de l’examen de la loi portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Les constructeurs, les motoristes, les avionistes demeurent dubitatifs à ce sujet, mais ils commencent à s’y intéresser ; or aucune filière n’existe en France, madame la ministre !
Peut-être quelque chose à gratter à partir de là… quand bien même cela se résumerait à une baisse de 5 % ou de 10 % de la taxation de ces carburants. À l’heure où tous les moyens d’énergie possible sont recherchés, ce qu’a soulevé notre collègue Martine Berthet mérite vraiment que l’on travaille dessus. En effet, je suis convaincu que quelques niches potentielles de ressources en énergie et en carburant existent.