Dans ces conditions, nous ne pouvons être favorables à une ligne qui ne serait pas tenable, à notre sens, pour nos entreprises et pour notre économie.
Je le répète : la Première ministre et Christophe Béchu recherchent activement des solutions.
Mesdames, messieurs les sénateurs, j’ai donné mon avis sur les amendements qui ont été défendus à l’instant, en expliquant pourquoi je m’oppose, d’une manière générale, à l’augmentation du versement mobilité. Permettez-moi à présent de m’exprimer, comme l’a fait M. le rapporteur général, sur l’ensemble des amendements qui viennent en discussion. Cela nous permettra de gagner du temps sur la suite. Il me semble que tel est le souhait du président de la commission des finances et des élus issus d’un certain nombre de groupes.
Le travail se poursuit donc sur le cas le plus urgent, à savoir la situation financière d’Île-de-France Mobilités. Je le répète, un certain nombre d’outils existent.