Monsieur le ministre, premièrement, vous estimez la contribution des entreprises en versement mobilité, dès lors que l’on augmente le taux, à 500 millions d’euros. Mais il faut aussi défendre les entreprises ! Ces amendements tendent justement à le faire.
Si nous laissons se poursuivre la dégradation des transports en commun et l’éloignement des salariés vis-à-vis de ces derniers, je peux vous dire que cela coûtera une blinde aux entreprises !
Il y aura de l’absentéisme, des taux de productivité en baisse, une défiance accrue des salariés vis-à-vis des entreprises… Combien tout cela leur coûtera-t-il ?
Deuxièmement, j’aimerais, monsieur le ministre, que vous nous donniez votre diagnostic réel sur l’état de la RATP et de la SNCF. Je vous prie de m’excuser, chers collègues qui n’êtes pas de la région parisienne, mais nous qui sommes franciliens sommes unanimes à constater une situation de dégradation inédite. Pourquoi n’en parlez-vous pas ?