Dans ma ville de 65 000 habitants, gaz et électricité sont gérés par le Syndicat intercommunal de la périphérie de Paris pour les énergies et les réseaux de communication (Sipperec), composé de communes de toutes sensibilités. L’analyse est simple : l’augmentation des prix de l’énergie est comprise entre 3 millions d’euros et 7 millions d’euros.
Vous vous dites aux côtés des collectivités, mais vous êtes en train de les étatiser. Vous voulez que toutes les collectivités territoriales de plus de 40 millions d’euros revoient leurs modalités d’orientation budgétaire, autant dire les orientations de la commune ! Que faites-vous de la libre administration ?
Monsieur le ministre, vous ne risqueriez rien à augmenter la DGF : il n’y aura pas d’évasion fiscale