Votre prédécesseur avait fixé comme objectif pour 2022 d'ouvrir France Consulaire à l'Europe entière. Cet objectif n'a pas été atteint. Il est par ailleurs prévu d'ouvrir ce service au monde entier d'ici fin 2023. Quand cet objectif pourra-t-il être atteint ?
Pour ne pas rester les simples spectateurs de l'action du Gouvernement et assumer notre mission de contrôle de son action, nous aurions besoin d'un plan de programmation consulaire, qui nous permette d'appréhender l'évolution du réseau dans le temps. Avez-vous un plan pour les trois prochaines années, pour savoir s'il y aura des créations de consulat ou des fermetures prévues ? Nous espérons par exemple l'anticipation de la création d'un consulat général à Melbourne. Que pouvez-vous nous en dire ?
Enfin, le nouvel élan prévu par le Président de la République pour l'enseignement français à l'étranger a permis de passer de 495 à 560 écoles françaises à l'étranger en 4 ans. Mais nous restons sur une croissance annuelle de 3 % du nombre d'élèves. Ces augmentations restent donc insuffisantes pour atteindre l'objectif présidentiel d'ici à 2030. Il avait été promis aux parlementaires des États généraux de l'enseignement français à l'étranger à la rentrée. Qu'en est-il ?