Face à l'affirmation de nouvelles puissances navales, en Méditerranée et dans l'Indopacifique, vous avez rappelé combien notre marine va connaître un « point bas » dans les prochaines années. Cela ne rend que plus nécessaire le maintien du plan de charge de notre BITD navale et le travail en coopération des marines européennes et « otaniennes ». Quelques coopérations semblent encore solides avec le Royaume-Uni dans le domaine des futurs missiles anti navire et de croisière, ainsi qu'avec la Belgique et les Pays-Bas pour la lutte anti-mines.
Mais pour le reste, sur quels partenaires fiables pourrons-nous nous appuyer pour lancer le renouvellement de nos avions de surveillance maritime Atlantique 2, pour assurer la suite du programme des frégates de défense et d'intervention, ou pour développer le domaine des drones aériens et sous-marins ?
Enfin, voyez-vous dans le Fonds européen de défense des opportunités de soutien à des projets utiles pour la marine nationale ?