M. le rapporteur spécial vient de s’exprimer avec sagesse sur ces deux amendements.
Comme le dirait une personne qui me tient à cœur, « là où il y a une volonté, il y a un chemin ». En la matière, nos ambitions pour l’année écoulée étaient effectivement plus fortes, mais nous avons tout de même fait une partie du chemin.
Monsieur Ouzoulias, j’entends que nous devons agir en lien plus étroit avec les collectivités territoriales. Ce travail est absolument nécessaire ; c’est précisément pourquoi nous nous appuyons, entre autres, sur le comité de filière Animation, où l’ensemble des associations d’élus locaux sont représentées. Surtout, nous avons la volonté de soutenir les engagements de chaque territoire.
Nous en sommes aujourd’hui au stade du momentum, de l’état des lieux factuel et le débat parlementaire est, lui aussi, absolument nécessaire. J’y insiste, nous arrivons à un moment particulier dans le déploiement du service national universel.
Je suis donc défavorable aux amendements n° II-261 et II-316.