Je voudrais vous rassurer, madame la sénatrice Rossignol, le président de la République a eu d’autres occupations à Dijon que de rencontrer M. Rebsamen. Il s’est notamment assuré de la façon dont les gendarmes sont aujourd’hui formés pour recueillir la parole des femmes victimes de violences intrafamiliales. J’étais à ses côtés, et ce qui nous a été montré était tout à fait passionnant.
Ensuite, pardonnez-moi de le rappeler, mais un travail parlementaire est en cours. Celui-ci a été confié à Mme la sénatrice Dominique Vérien et à Mme la députée Émilie Chandler. Si le président de la République annonçait des mesures au cours de cette visite à Dijon ou si je m’exprimais à ce propos, vous seriez, sans aucun doute, la première à déclarer que nous ne respectons pas le travail parlementaire. Souffrez que ce travail se termine.