Cet amendement vise à majorer d’un million d’euros les crédits à destination des services pénitentiaires d’insertion et de probation.
Notre collègue insiste à juste titre sur l’équipement informatique et la numérisation des Spip. Je veux à cet égard rappeler que le plan de transformation numérique de la justice concerne l’ensemble des services et des métiers, y compris donc les Spip.
Les crédits ne sont pas forcément labellisés sur ceux de l’administration pénitentiaire, car les projets sont parfois pilotés par le secrétariat général du ministère de la justice. S’agissant des équipements pour le télétravail, le ministère a confirmé que, désormais, l’ensemble des agents ayant des fonctions pouvant être exercées à distance disposent des équipements nécessaires.
La commission demande donc le retrait de cet amendement, faute de quoi elle émettrait un avis défavorable.