Le Gouvernement n’a pas envie de réaliser un rapport sur ce sujet, d’autant qu’il connaît déjà la réponse à votre question : grâce aux recrutements, le nombre de dossiers suivis par les Spip a diminué de 13 %, passant de 80 dossiers à 71 par conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.
En conséquence, j’émets un avis défavorable.