L’EFS n’est pas financé par le programme dont il est question : il reçoit une subvention de l’assurance maladie qui complète ses ressources propres.
Auditionné la semaine dernière par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, son président évoque un besoin de financement de l’ordre de 90 millions d’euros en 2023, qui s’explique par l’impact de l’inflation, par la nécessité de décider des revalorisations salariales et par la baisse des ressources tirées de la fourniture de produits sanguins aux hôpitaux.
Je souhaite que le Gouvernement puisse m’apporter des réponses sur les difficultés de cet établissement, qui joue un rôle fondamental dans notre système de santé.