Dans ce cadre, 10 milliards d’euros, soit 12, 5 % des crédits du plan, sont destinés à subventionner le patronat pour l’embauche d’apprentis ou de jeunes de moins de 25 ans.
Les politiques de l’emploi ne peuvent pas dépendre uniquement du patronat. Nous soutenons la création d’emplois pérennes et bien rémunérés.
Dernier point, le plan de soutien au secteur ferroviaire prévoyait des investissements à hauteur de 4, 7 milliards d’euros, un apport indispensable dans tous les territoires pour décarboner les mobilités. En vérité, plus de 4 milliards seront consacrés à la recapitalisation de la SNCF et seulement 650 millions, bienvenus, seront destinés aux investissements dans les infrastructures de transport.
Ce plan de relance était insuffisant et nous voterons contre les crédits de cette mission.