Je l’analyse comme un amendement d’appel, puisqu’il n’est théoriquement pas possible d’inscrire des crédits de paiement sans une autorisation d’engagement, qui plus est sur un programme créé de toutes pièces.
Il est vrai pour autant que la question de la reconquête de notre souveraineté en matière de médicaments est fondamentale.
La commission demande le retrait de cet amendement ; à défaut, l’avis sera défavorable.