Je n’aurais peut-être pas dû vous prendre à partie comme je l’ai fait tout à l’heure, monsieur le rapporteur spécial, je vous prie de bien vouloir m’en excuser. Quelles que soient les formules que nous choisissons pour nous exprimer, convenons que les élus, une fois les communes nouvelles créées, ont manqué d’un accompagnement indispensable de la part des services de l’État, notamment de la direction générale des finances publiques (DGFiP), y compris en matière de prospective financière et de projection. Cet accompagnement a été lacunaire, je n’oserai dire absent, madame la ministre, pour ne pas m’entendre dire, une fois de plus, que je suis dans l’excès…
Un certain nombre d’élus ont pris des décisions, en lien ou non avec leur population, qui nous conduisent à déposer ces différents amendements parce que tout n’a pas été mesuré ni maîtrisé. C’est souvent comme cela dans la vraie vie…
Madame la ministre, je n’aimerais pas être à votre place. §C’est effectivement un défi de reprendre en deux jours la mission « Relations avec les collectivités territoriales ». Démarquez-vous des questions de constitutionnalité ou relatives au pacte de stabilité. Nous sommes ici pour faire de la politique ; laissons à d’autres le soin d’arbitrer !
Je le répète : travaillons ensemble dans l’intérêt de nos collectivités.